Programmation scolaire

Au commencement il y a une forêt. Dans cette forêt un grand arbre… Dans cet arbre vivent des milliers d’oiseaux qui chantent du matin au soir !
Un jour, l’arbre est abattu et les oiseaux s’envolent… Mais dans son bois, on a sculpté un violon, un archet, des appeaux…. Et voilà le concert qui reprend, avec des instruments qui se souviennent de leur ancienne vie : le violon s’envole pour rivaliser en prouesse avec le ramage des petits êtres ailés, devenant tour à tour tendre hirondelle,
rossignol virtuose, coucou moqueur… Et si on en profitait pour apprendre à reconnaître quelques chants d’oiseaux ? Et découvrir la musique qu’ils ont inspirée, mais aussi des instruments inventés pour dialoguer avec eux… et même pour leur apprendre notre musique !
Dans la volière personnelle d’Alice Julien-Laferrière, il y a des oiseaux connus (Vivaldi et son Printemps), et d’autres plus rares (Biber, Tartini, Van Eyck…). On y entre par curiosité, on en ressort enchanté !

spectacle JMF

Au commencement il y a une forêt. Dans cette forêt un grand arbre… Dans cet arbre vivent des milliers d’oiseaux qui chantent du matin au soir !
Un jour, l’arbre est abattu et les oiseaux s’envolent… Mais dans son bois, on a sculpté un violon, un archet, des appeaux…. Et voilà le concert qui reprend, avec des instruments qui se souviennent de leur ancienne vie : le violon s’envole pour rivaliser en prouesse avec le ramage des petits êtres ailés, devenant tour à tour tendre hirondelle,
rossignol virtuose, coucou moqueur… Et si on en profitait pour apprendre à reconnaître quelques chants d’oiseaux ? Et découvrir la musique qu’ils ont inspirée, mais aussi des instruments inventés pour dialoguer avec eux… et même pour leur apprendre notre musique !
Dans la volière personnelle d’Alice Julien-Laferrière, il y a des oiseaux connus (Vivaldi et son Printemps), et d’autres plus rares (Biber, Tartini, Van Eyck…). On y entre par curiosité, on en ressort enchanté !

spectacle JMF

Au commencement il y a une forêt. Dans cette forêt un grand arbre… Dans cet arbre vivent des milliers d’oiseaux qui chantent du matin au soir !
Un jour, l’arbre est abattu et les oiseaux s’envolent… Mais dans son bois, on a sculpté un violon, un archet, des appeaux…. Et voilà le concert qui reprend, avec des instruments qui se souviennent de leur ancienne vie : le violon s’envole pour rivaliser en prouesse avec le ramage des petits êtres ailés, devenant tour à tour tendre hirondelle,
rossignol virtuose, coucou moqueur… Et si on en profitait pour apprendre à reconnaître quelques chants d’oiseaux ? Et découvrir la musique qu’ils ont inspirée, mais aussi des instruments inventés pour dialoguer avec eux… et même pour leur apprendre notre musique !
Dans la volière personnelle d’Alice Julien-Laferrière, il y a des oiseaux connus (Vivaldi et son Printemps), et d’autres plus rares (Biber, Tartini, Van Eyck…). On y entre par curiosité, on en ressort enchanté !

spectacle JMF

La cie Monsieur K a été accueillie sur la saison 2019-2020 en résidence de création et nous a offert la joie en mars 2020 de nous présenter un extrait de ce spectacle en construction. Nous sommes donc heureux et impatients de l’accueillir en son entier.
Mais la compagnie ne veut pas trop en dévoiler ! Sinon le plaisir serait gâché…

Voilà ce que l’on en sait : il y sera question des coulisses d’un spectacle en train de se créer… Vous serez embarqués dans un tourbillon drolatique avec des comédiens aussi à l’aise pour improviser une histoire vraie que pour jouer Phèdre et inversement… !

On connait leur style habile et jubilatoire mêlant danse et théâtre, on sait qu’ils n’ont pas leur pareil pour nous faire rire du vrai et du faux et qu’ils nous réservent de belles surprises, teintées d’humour et de poésie. Ils seront présents là où on ne les attend pas !

7M² part du conte de Hänsel et Gretel et plus particulièrement de l’univers graphique proposé par le peintre et illustrateur italien Lorenzo Mattotti pour les éditions Gallimard
Jeunesse.

Cette pièce transpose de façon symbolique et implicite cette histoire pour la sublimer par le geste et la lumière. Véritable espace de contemplation, 7M² se voit comme une expérience chorégraphique, visuelle, émotionnelle et sensorielle, en lien avec ce conte populaire connu de tous.

En lien avec les recherches artistiques de la compagnie, les danseurs évoluent dans une architecture de lumières de 7 mètres carrés, se jouant alors des représentations d’enfermement, d’espérance et de liberté, présentes dans le conte.

7M² part du conte de Hänsel et Gretel et plus particulièrement de l’univers graphique proposé par le peintre et illustrateur italien Lorenzo Mattotti pour les éditions Gallimard
Jeunesse.

Cette pièce transpose de façon symbolique et implicite cette histoire pour la sublimer par le geste et la lumière. Véritable espace de contemplation, 7M² se voit comme une expérience chorégraphique, visuelle, émotionnelle et sensorielle, en lien avec ce conte populaire connu de tous.

En lien avec les recherches artistiques de la compagnie, les danseurs évoluent dans une architecture de lumières de 7 mètres carrés, se jouant alors des représentations d’enfermement, d’espérance et de liberté, présentes dans le conte.

7M² part du conte de Hänsel et Gretel et plus particulièrement de l’univers graphique proposé par le peintre et illustrateur italien Lorenzo Mattotti pour les éditions Gallimard
Jeunesse.

Cette pièce transpose de façon symbolique et implicite cette histoire pour la sublimer par le geste et la lumière. Véritable espace de contemplation, 7M² se voit comme une expérience chorégraphique, visuelle, émotionnelle et sensorielle, en lien avec ce conte populaire connu de tous.

En lien avec les recherches artistiques de la compagnie, les danseurs évoluent dans une architecture de lumières de 7 mètres carrés, se jouant alors des représentations d’enfermement, d’espérance et de liberté, présentes dans le conte.

7M² part du conte de Hänsel et Gretel et plus particulièrement de l’univers graphique proposé par le peintre et illustrateur italien Lorenzo Mattotti pour les éditions Gallimard
Jeunesse.

Cette pièce transpose de façon symbolique et implicite cette histoire pour la sublimer par le geste et la lumière. Véritable espace de contemplation, 7M² se voit comme une expérience chorégraphique, visuelle, émotionnelle et sensorielle, en lien avec ce conte populaire connu de tous.

En lien avec les recherches artistiques de la compagnie, les danseurs évoluent dans une architecture de lumières de 7 mètres carrés, se jouant alors des représentations d’enfermement, d’espérance et de liberté, présentes dans le conte.

C’est quoi, Pierre Feuille Loup ?
Ce sont trois histoires contées par Jeanne Gogny, dont le célébrissime Pierre et le loup. C’est aussi un incroyable concert qui nous permet d’entendre l’oeuvre culte de Prokofiev… sur guitare amplifiée ! Une magistrale leçon de musique donnée en toute simplicité par Sylvain Choinier (King Biscuit, Kumquat).
Ce sont encore les dessins de Lison De Ridder et son incontournable rétroprojecteur. À l’aide d’un scalpel, elle ouvre et découpe sous nos yeux son univers si particulier, presque magique.
Une partition « branchée » sur secteur, un rétroprojecteur dépoussiéré et une voix millénaire qui nous raconte des histoires de notre plus tendre enfance : sous la houlette de Manon Thorel (Molière 2015), les trois artistes font éclore tout un monde un peu vintage et très actuel. Un concert, un conte, des illustrations : c’est Pierre Feuille Loup.

spectacle JMF

C’est quoi, Pierre Feuille Loup ?
Ce sont trois histoires contées par Jeanne Gogny, dont le célébrissime Pierre et le loup. C’est aussi un incroyable concert qui nous permet d’entendre l’oeuvre culte de Prokofiev… sur guitare amplifiée ! Une magistrale leçon de musique donnée en toute simplicité par Sylvain Choinier (King Biscuit, Kumquat).
Ce sont encore les dessins de Lison De Ridder et son incontournable rétroprojecteur. À l’aide d’un scalpel, elle ouvre et découpe sous nos yeux son univers si particulier, presque magique.
Une partition « branchée » sur secteur, un rétroprojecteur dépoussiéré et une voix millénaire qui nous raconte des histoires de notre plus tendre enfance : sous la houlette de Manon Thorel (Molière 2015), les trois artistes font éclore tout un monde un peu vintage et très actuel. Un concert, un conte, des illustrations : c’est Pierre Feuille Loup.

spectacle JMF

C’est quoi, Pierre Feuille Loup ?
Ce sont trois histoires contées par Jeanne Gogny, dont le célébrissime Pierre et le loup. C’est aussi un incroyable concert qui nous permet d’entendre l’oeuvre culte de Prokofiev… sur guitare amplifiée ! Une magistrale leçon de musique donnée en toute simplicité par Sylvain Choinier (King Biscuit, Kumquat).
Ce sont encore les dessins de Lison De Ridder et son incontournable rétroprojecteur. À l’aide d’un scalpel, elle ouvre et découpe sous nos yeux son univers si particulier, presque magique.
Une partition « branchée » sur secteur, un rétroprojecteur dépoussiéré et une voix millénaire qui nous raconte des histoires de notre plus tendre enfance : sous la houlette de Manon Thorel (Molière 2015), les trois artistes font éclore tout un monde un peu vintage et très actuel. Un concert, un conte, des illustrations : c’est Pierre Feuille Loup.

spectacle JMF

Deux musiciennes tiennent entre leurs doigts emmitouflés un bouquet d’histoires venues du froid. Portées par un mix de sons acoustiques et synthétiques, elles soufflent, slament, content, chantent et signent…. et nous donnent à entendre, entre les mots, le mystère des espaces enneigés, parcourus de craquements et de frôlements, de vent et de pas étouffés.
Mêlant improvisation et compositions aux sonorités actuelles, Premières neiges s’écoute et se partage comme un premier pas vers l’univers électro-acoustique.
Un concert comme un cocon enveloppant, peuplé de sons étonnants et d’images projetées (où l’on découvre que l’onde sonore a parfois la forme… d’un flocon !). Les artistes œuvrent à rendre le son visible, au même titre que la langue des signes qui traverse le spectacle en pointillé. Cette dernière est utilisée à la fois comme une main tendue vers certains publics, et pour ce qu’elle a de sensible et d’universel. Le bout du nez sera froid, mais le cœur bien au chaud !

spectacle JMF

Deux musiciennes tiennent entre leurs doigts emmitouflés un bouquet d’histoires venues du froid. Portées par un mix de sons acoustiques et synthétiques, elles soufflent, slament, content, chantent et signent…. et nous donnent à entendre, entre les mots, le mystère des espaces enneigés, parcourus de craquements et de frôlements, de vent et de pas étouffés.
Mêlant improvisation et compositions aux sonorités actuelles, Premières neiges s’écoute et se partage comme un premier pas vers l’univers électro-acoustique.
Un concert comme un cocon enveloppant, peuplé de sons étonnants et d’images projetées (où l’on découvre que l’onde sonore a parfois la forme… d’un flocon !). Les artistes œuvrent à rendre le son visible, au même titre que la langue des signes qui traverse le spectacle en pointillé. Cette dernière est utilisée à la fois comme une main tendue vers certains publics, et pour ce qu’elle a de sensible et d’universel. Le bout du nez sera froid, mais le cœur bien au chaud !

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Deux musiciennes tiennent entre leurs doigts emmitouflés un bouquet d’histoires venues du froid. Portées par un mix de sons acoustiques et synthétiques, elles soufflent, slament, content, chantent et signent…. et nous donnent à entendre, entre les mots, le mystère des espaces enneigés, parcourus de craquements et de frôlements, de vent et de pas étouffés.
Mêlant improvisation et compositions aux sonorités actuelles, Premières neiges s’écoute et se partage comme un premier pas vers l’univers électro-acoustique.
Un concert comme un cocon enveloppant, peuplé de sons étonnants et d’images projetées (où l’on découvre que l’onde sonore a parfois la forme… d’un flocon !). Les artistes œuvrent à rendre le son visible, au même titre que la langue des signes qui traverse le spectacle en pointillé. Cette dernière est utilisée à la fois comme une main tendue vers certains publics, et pour ce qu’elle a de sensible et d’universel. Le bout du nez sera froid, mais le cœur bien au chaud !

spectacle JMF

Deux musiciennes tiennent entre leurs doigts emmitouflés un bouquet d’histoires venues du froid. Portées par un mix de sons acoustiques et synthétiques, elles soufflent, slament, content, chantent et signent…. et nous donnent à entendre, entre les mots, le mystère des espaces enneigés, parcourus de craquements et de frôlements, de vent et de pas étouffés.
Mêlant improvisation et compositions aux sonorités actuelles, Premières neiges s’écoute et se partage comme un premier pas vers l’univers électro-acoustique.
Un concert comme un cocon enveloppant, peuplé de sons étonnants et d’images projetées (où l’on découvre que l’onde sonore a parfois la forme… d’un flocon !). Les artistes œuvrent à rendre le son visible, au même titre que la langue des signes qui traverse le spectacle en pointillé. Cette dernière est utilisée à la fois comme une main tendue vers certains publics, et pour ce qu’elle a de sensible et d’universel. Le bout du nez sera froid, mais le cœur bien au chaud !

spectacle JMF

Le hip-hop n’évoque pour vous que l’image de jeunes en jogging qui tournent sur la tête ? Une séance de rattrapage s’impose ! Ingrid Chasseur, maître de conférences en agronomie et en hip-hop, un brin allumée, en connaît un rayon. En complément d’extraits musicaux, elle a sous la main, pour vous éclairer, deux danseurs qui illustrent les différentes figures de danses.

Ce spectacle drôle et ludique prend à rebrousse-poil les clichés et les idées reçues pour dévoiler la grande richesse d’un mouvement artistique et de ses nombreux courants.

Alors, hip-hop or not hip-hop ? On connait la réponse !

Le hip-hop n’évoque pour vous que l’image de jeunes en jogging qui tournent sur la tête ? Une séance de rattrapage s’impose ! Ingrid Chasseur, maître de conférences en agronomie et en hip-hop, un brin allumée, en connaît un rayon. En complément d’extraits musicaux, elle a sous la main, pour vous éclairer, deux danseurs qui illustrent les différentes figures de danses.

Ce spectacle drôle et ludique prend à rebrousse-poil les clichés et les idées reçues pour dévoiler la grande richesse d’un mouvement artistique et de ses nombreux courants.

Alors, hip-hop or not hip-hop ? On connait la réponse !

Le hip-hop n’évoque pour vous que l’image de jeunes en jogging qui tournent sur la tête ? Une séance de rattrapage s’impose ! Ingrid Chasseur, maître de conférences en agronomie et en hip-hop, un brin allumée, en connaît un rayon. En complément d’extraits musicaux, elle a sous la main, pour vous éclairer, deux danseurs qui illustrent les différentes figures de danses.

Ce spectacle drôle et ludique prend à rebrousse-poil les clichés et les idées reçues pour dévoiler la grande richesse d’un mouvement artistique et de ses nombreux courants.

Alors, hip-hop or not hip-hop ? On connait la réponse !

Chiffonnade est une chorégraphie ayant pour matière première l’étoffe, celle que l’on peut toucher, froisser, palper, plisser, celle dont on se vêt et qui conditionne notre image au regard de l’autre. Mais Chiffonnade parle aussi d’émancipation, d’une chrysalide d’enfant qui ne cesse de grandir pour se muer en adulte.
Sur scène, une sphère aux allures de coquillage abrite un personnage et une multitude de tissus : partenaires de danse et matières à construire, ils guident l’écriture chorégraphique ainsi de bouts de chiffons se créent de nouveaux mondes.
Grandir c’est se construire, c’est savoir partir et prendre le large.

Chiffonnade est une chorégraphie ayant pour matière première l’étoffe, celle que l’on peut toucher, froisser, palper, plisser, celle dont on se vêt et qui conditionne notre image au regard de l’autre. Mais Chiffonnade parle aussi d’émancipation, d’une chrysalide d’enfant qui ne cesse de grandir pour se muer en adulte.
Sur scène, une sphère aux allures de coquillage abrite un personnage et une multitude de tissus : partenaires de danse et matières à construire, ils guident l’écriture chorégraphique ainsi de bouts de chiffons se créent de nouveaux mondes.
Grandir c’est se construire, c’est savoir partir et prendre le large.

Chiffonnade est une chorégraphie ayant pour matière première l’étoffe, celle que l’on peut toucher, froisser, palper, plisser, celle dont on se vêt et qui conditionne notre image au regard de l’autre. Mais Chiffonnade parle aussi d’émancipation, d’une chrysalide d’enfant qui ne cesse de grandir pour se muer en adulte.
Sur scène, une sphère aux allures de coquillage abrite un personnage et une multitude de tissus : partenaires de danse et matières à construire, ils guident l’écriture chorégraphique ainsi de bouts de chiffons se créent de nouveaux mondes.
Grandir c’est se construire, c’est savoir partir et prendre le large.

Chiffonnade est une chorégraphie ayant pour matière première l’étoffe, celle que l’on peut toucher, froisser, palper, plisser, celle dont on se vêt et qui conditionne notre image au regard de l’autre. Mais Chiffonnade parle aussi d’émancipation, d’une chrysalide d’enfant qui ne cesse de grandir pour se muer en adulte.
Sur scène, une sphère aux allures de coquillage abrite un personnage et une multitude de tissus : partenaires de danse et matières à construire, ils guident l’écriture chorégraphique ainsi de bouts de chiffons se créent de nouveaux mondes.
Grandir c’est se construire, c’est savoir partir et prendre le large.